Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Château d'Espeyran

Parc et nature

Un jardin d’agrément en Camargue

    Un parc d’agrément

    Le château d’Espeyran se pare d’un parc de plus de 13 hectares aménagé au milieu du XIXe siècle. Invitant à la rêverie, celui-ci se présente à la fois comme un parc d’agrément à l’anglaise, conservant des infrastructures liées à la vie quotidienne tels que des puits ou une noria, et à la fois comme un parc d’entraînement pour les chevaux. Aménagé dans le goût anglais, ce parc composé de bosquets, lisières, prairies engazonnées offre un écrin exceptionnel au château.

    Un conservatoire naturel et une réserve ornithologique

    Conservatoire de la biodiversité, le parc abrite de nombreuses espèces végétales telles que des plantes vivaces (orchidées, iris, aubépines) qui voisinent avec des arbustes persistants (lauriers, coronilles) croissant sous les arbres centenaires (cèdres du Liban, arbres du Judée, etc).

    Lieu de passage des chasseurs d’Afrique et autres oiseaux migrateurs (cigognes, martinets, etc.), il est également l’habitat naturel de rapaces nocturnes (chouettes, hiboux) mais aussi des chauves-souris, geais, rossignols ou huppes.

    Un grand paysage de la Camargue gardoise

    Terre de contraste, le domaine est d’un côté bordé par un bois peuplé de chênes, aux limitations inchangées depuis près de cinq siècles, et inscrit traditionnellement dans un paysage de Costières. De l’autre côté, les marais laissent place à un paysage de Camargue, bordé par le canal du Rhône à Sète. Ce territoire offre de multiples perceptions typiques de la Camargue Gardoise : terres céréalières, vergers, vignes et bois, qui font face aux étangs,

    aaa